EN PARLER

C’est quoi?

Parler d’abus sexuels, de harcèlement n’est pas facile, surtout pour des enfants. Il peuvent douter d’eux-mêmes et de ce qui s’est passé, se sentir coupables, honteux, avoir peur de blesser leur famille en leur parlant… Et ils ne savent généralement pas à qui s’adresser. Le tchat Maintenant, j’en parle est là pour les aider. Les enfants et les jeunes peuvent y aborder les sujets les plus difficiles: maltraitance, exploitation ou abus sexuel (intra ou extrafamilial, harcèlement sexuel à l’école et ailleurs…) et trouver de l’aide.

 

 

 

 

 

 

 

 

Avec qui?

Sur le tchat, les jeunes sont en contact avec des intervenantes spécialement formées pour les écouter sans les juger, les comprendre, les aider à clarifier leurs idées, à formuler leurs questions ou à raconter leur problème. Elles sont là aussi pour les informer des solutions qui existent, des démarches qu’ils peuvent entreprendre, les orienter vers les structures d’aide appropriées et, s’ils le souhaitent, prendre contact avec ces services. Chaque jeune peut avoir plusieurs contacts (maximum 10) avec la même intervenante ou en changer s’il préfère.

 

 

 

 

 

 

 

Comment?

Le tchat est anonyme.  Les conversations qu’un jeune a avec une des intervenantes spécialisées sont strictement confidentielles et protégées, personne d’autre n’y a accès. Le jeune a d’ailleurs, à tout moment, la possibilité d’afficher chez lui une page de «cache». Il peut indiquer son vrai nom ou choisir un pseudo pour tchatter. Il peut aussi indiquer son âge, son sexe et le code postal de la région dans laquelle il vit, mais ce n’est pas obligatoire. Cela peut cependant permettre aux intervenantes de mieux l’aider.

 

 

Dr Josée PELZER, Ancienne responsable du Tchat
Quand peut-on tchatter?
Dr Josée PELZER, Ancienne responsable du Tchat
Doit-on communiquer son identité?

 

Dr Josée PELZER, Ancienne responsable du Tchat
Avec qui va-t-on parler?

 

UNE ÉCOUTE BIENVEILLANTE
Les jeunes sont en contact avec des intervenantes spécialement formées pour les écouter sans les juger, les comprendre, les aider à clarifier leurs idées, à formuler leurs questions ou à raconter leur problème.

 

ANONYME ET CONFIDENTIEL

 

Dr Josée PELZER, Ancienne responsable du Tchat
Où peut-on avoir plus d’informations?

 

 

 

 

Et après?

Sur le tchat et sur le site, on trouve aussi des informations sur les abus sexuels et sur les autres formes de maltraitance souvent liées aux maltraitances sexuelles – notamment la maltraitance psychique et physique – ainsi que sur les démarches que l’on peut entreprendre et sur les autres professionnels qui peuvent aider les jeunes victimes de ces maltraitances (police, child focus, CPVS – Centres de prise en charge des violences sexuelles -, SOS Viol, 103 Écoute enfants, Service droits des jeunes…). Enfin, de précieux conseils sont également donnés aux personnes qui s’inquiètent pour un enfant et pensent qu’il est peut-être victime de comportements sexuels inacceptables.

 

 

 

En pratique

Le tchat est accessible, du mardi au vendredi de 18 h à 21 h et le lundi de 18 h 30 à 21 h 30, y compris pendant les vacances scolaires. Il est destiné aux personnes qui ont besoin de parler de leur situation et qui ont besoin d’aide. Une conversation (tchat) dure maximum une heure et chaque jeune a droit à 10 tchats. S’il n’arrive pas à se connecter (tchat occupé ou fermé, problème technique…), il peut envoyer un message sous forme de ticket et les intervenantes reviendront vers lui le plus vite possible.

maintenantjenparle.be

 

 

 

 

INFORMATIONS ET CONSEILS
Sur le tchat et sur le site, on trouve aussi des informations sur les abus sexuels et les autres formes de maltraitance ainsi que sur les démarches que l’on peut entreprendre.
[/aesop_content]

 

Documentation sur le sujet